Je n’aimerai que toi des débuts devient inéluctablement au bout d’un certain temps, » je reste avec toi parce que je me sens bien auprès de toi « , ou encore » je préfère rester avec toi parce qu’avec toi, je ne m’ennuie pas « .
C’est peut-être la théorie d’un moindre mal, mais c’est la seule tenable dans la durée.
Se contenter d’un « je te préfère » serait plus réaliste et bénéfique que rester dans l’illusion d’un absolu puis tomber « de haut « !
Et si nous apprenions à être complices de nos imperfections et nous suffire d’un moindre bien ?
Nous pourrions bâtir un sentiment de préférence qui s’appuierait à la fois sur une complicité lucide et constructive et sur » la part de mystère « , ce » petit truc » chez l’autre personne qui fait que l’on se sent bien avec elle.